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Plusieurs projets au menu

Une subvention de plus de vingt cinq millions de dinars, destinée à la prise en charge des opérations urgentes, a été octroyée, dernièrement, par les pouvoirs publics à la commune de Tizi-Gheniff, dans le cadre de la section PCD. À cet effet, une session extraordinaire de l’APC s’est tenue jeudi passé sous la présidence de M. Saïd Mansour, le P/APC. « L’APC de Tizi-Gheniff a donc décidé de l’ouverture des crédits non seulement pour les projets que nous avons jugé mais également pour répondre à l’attente de nos administrés, qui n’ont pas cessé de les réclamer. Aussi, nous avons décidé de procéder à la réfection en béton bitumeux de la rue « Fettoum Amar » sur 400ML, la réalisation d’un éclairage public au village agricole Adila, ainsi l’étude et la construction de gradins pour l’aire de jeux de Tizi-Gheniff centre », nous déclare notre interlocuteur, tout en ajoutant que d’autres opérations d’une grande  importance ont été également inscrites, à l’exemple de l’aménagement du parc communal, la réparation des conduites d’assainissement au centre-ville et à travers certains villages de la commune, l’étude et l’extension des réseaux du gaz naturel ainsi que l’achèvement de raccordement en gaz de ville de l’école primaire Benredjdal, les réhabilitations du marché hebdomadaire et de l’abattoir communal ainsi que le dallage de la piste Essebt aux côtés d’autres projets de moindre importance. Par ailleurs, les membres de l’APC de Tizi-Gheniff n’ont pas hésité au cours de cette session extraordinaire, à voter une enveloppe financière pour venir en aide aux personnes nécessiteuses, ne disposant d’aucune ressource. Cependant, comme à travers plusieurs communes de la wilaya, si, effectivement, les pouvoirs publics ne cessent de débloquer des sommes importantes d’argent pour la réalisation des projets, malheureusement, ces sommes restent souvent inutilisées, car les projets n’arrivent pas à démarrer ou sont souvent bloqués après le début de leur exécution et demeurent ainsi en souffrance durant plusieurs années, au grand désespoir des citoyens.

Essaid  Mouas

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