L’APC des Ouadhias a présenté son bilan 2014, avant-hier, à la salle de cinéma, et ce en présence d’élus, des comités de villages, des associations ainsi que des représentants de plusieurs directions.
En effet, c’est dans le cadre de la transparence et d’une gestion participative que la population des Ouadhias a été conviée à la rencontre qui visait à rendre des comptes à la population ainsi que de discuter des perspectives envisagées pour les deux prochaines années. « Comme nous l’avions promis lors de la campagne électorale concernant la gestion des affaires de la collectivité aujourd’hui donc, l’objectif est d’ores et déjà d’honorer nos engagements et de continuer à œuvrer dans cette démarche qui est la participation de toutes les parties de notre société dans sa réussite ou non de notre perspective», a avancé M. Akir Youcef, P/APC des Ouadhias. Il évoquera néanmoins que «la commune demeure toujours à promouvoir et nous sommes interpellés à envisager des projets structurants». En outre, l’édile s’étale, devant une assistance, sur les maintes projets accordés tels que la réalisation de l’hôpital de 60 lits, la pelouse du stade, la réhabilitation du cinéma, la piscine dont les travaux avancent avec un rythme acceptable, sans omettre l’inscription de l’ovoïde, la step entre autres. «Ce sont des projets de grande envergure qui reviennent d’une grande importance pour toute la région. Cela va sans dire que d’autre projets accordés dans les PCD, DTP, FCCL et d’autres sur le prélèvement du budget communal (BC)», a-t-il souligné avant d’enchainer : «Il y avait vraiment des choses qui se sont concrétisés durant mon mandat comme d’autres qu’on a trouvé au cours d’achèvement. Nous avions continué ces projets pour les mettre en service, entre autres la bibliothèque communale». D’autre part, M. Akir brosse un tableau peu reluisant dans plusieurs secteurs de développement. «Il reste encore du travail à effectuer. Le gaz de ville à titre illustratif qui est confronté à une opposition du côté de Béni Douala, des foyers encore non raccordés au réseau, les cités sises à quelques encablures du chef-lieu (Zedma) qui nécessitent une prise en charge par les services concernés dans les brefs délais, le projet du marché couvert…», a-t-il réitéré. Par ailleurs, le maire indiquera que l’exécutif communal ne ménage aucun effort pour acquérir certains projets et ce dans l’optique d’alléger les souffrances des populations. Il donnera l’exemple de la réalisation de déviation de la ville qui va désengorger le chef-lieu qui suffoque ces derniers temps, réalisation d’un siège de la daïra et des impôts, relancer le projet du CET et la réalisation d’un centre de payement et du control médical. Lors des débats, les présents ont abordé plusieurs lacunes que les habitants endurent au quotidien.
M. Z.