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Ruée sur les groupes électrogènes

l Depuis que l’hiver s’est installé, les coupures d’électricité sont devenues fréquentes à Boghni. Pratiquement, un soir sur deux, les foyers s’éclairent à la bougie. Tout le monde est unanime pour dire qu’il faut en allumer trois à quatre par pièce pour chasser l’obscurité. De ce fait, une réserve de paquets de bougies s’impose. Cependant, les plus chanceux sont ceux qui n’ont pas lésiné pour se doter de petits groupes électrogène. A Boghni, ces produits se vendent bien. D’ailleurs, aussitôt que l’électricité disparaît, le ronflement des moteurs se fait entendre un peu partout dans les maisons. Aussi, cette commodité (électricité) quand elle vient à manquer au citoyen, c’est la quiétude intérieure qui est mise à mal et qui génère stress et désarroi. Vivement “l’électricité stable”.

Derriche Akli

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