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Les travaux de dallage des trottoirs se poursuivent

Après un arrêt qui a duré presque une année, l’entreprise a repris les travaux de dallage des trottoirs restants au niveau du lotissement Mohamed Bellaouche. Interrogé à ce sujet, un membre du comité Tadukli dudit lotissement nous répondra que la fiche technique initiale a été rectifiée et, finalement, les quantités manquantes ont été ajoutées à ce projet. « Actuellement, les travaux sont à hauteur de 80% d’avancement. Ils seront achevés dans quelques jours », précisera le même interlocuteur. Tout de même, il faudra reconnaître que ce lotissement a bénéficié de nombreuses opérations dans le cadre de l’amélioration urbaine.  » Il y a de cela quelques années, notre cité était entièrement abandonnée. Aujourd’hui, elle a des trottoirs, tous les accès sont bitumés en béton bitumineux, les conduites d’eau potable ont été refaites avec du PEHD », notera un autre membre du comité en question. Par ailleurs, nos interlocuteurs n’omettront pas de nous montrer les lampadaires installés sur les pylônes électriques.  » L’éclairage public est renforcé. Tous les quartiers ont leurs lampadaires », soulignera le premier interlocuteur. Néanmoins, les deux membres regretteront que, par exemple, le réseau AEP n’est pas bien réussi.  » Il y a trop de fuites. Le comble est que lorsqu’elles sont réparées, elles ne le sont pas dans les règles de l’art. D’ailleurs, vous voyez tous ces cratères qui parsèment de nombreux accès et surtout l’axe principal du quartier », insistera le deuxième membre. Par ailleurs, les membres dudit comité nous signaleront que la partie du lotissement social bénéficie actuellement d’un réseau de téléphone. C’est dire que le lotissement Bellaouche Mohamed a quand même attiré l’attention des autorités et dans tous les secteurs, avec le branchement au réseau du gaz naturel des habitations situées du côté droit de l’axe principal.  » Nous souhaitons que le gaz naturel soit mis en service avant l’hiver pour les habitants qui ont souffert depuis maintenant plus de vingt quatre ans après que les autres habitations eurent bénéficié de cette commodité », concluront nos interlocuteurs.

Amar Ouramdane

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