Les locataires des immeubles situés au centre-ville de Aïn El Hammam se plaignent des odeurs pestilentielles qui se dégagent de leurs cages d’escaliers, devenues des urinoirs à ciel ouvert. Les incriminés, des hommes et des femmes de passage, sans prétendre les dédouaner de leurs actes, ne trouvent pas d’autres endroits où se soulager, loin des regards indiscrets.
