L’APC récupère l’ancien siège de l’OPGI

Partager

Depuis la semaine écoulée, les services techniques de l’APC de M’Chedallah viennent d’être installés au niveau de l’ancien siège de l’OPGI situé au centre-ville, à côté de celui de la sûreté urbaine. Ce nouveau siège est composé de 04 bureaux avec un hall aménagé en salle d’attente et toutes les commodités y a afférentes dignes de l’un des services publics des plus sollicités après celui de l’état civil. Ses prérogatives s’étendent sur toutes les opérations de réalisation, du suivi technique, de l’épineux dossier du foncier, de l’habitat rural, de l’auto-construction. Ils sont aussi membre de la commission de daïra des constats et régulations administratives des dossiers individuels du foncier, d’où une activité de ruche qui nécessite de l’espace, un effectif suffisant et compètent.

Les anciens bureaux qu’a libérés ce service technique et qui étaient situés au rez-de-chaussée du siège de l’APC, ont été réaménagés pour recevoir le service de contrôle du fichier des cartes grises, un guichet pour la délivrance de ce document, un autre bureau réservé aux cartes nationales d’identité et les passeports biométriques. Des services qui enregistreront sans aucun doute le même rush des citoyens dès le début de l’année prochaine, soit dès le démarrage de la généralisation de la délivrance de ces documents biométriques. Rappelons que la sous-direction de l’OPGI qui a libéré ce siège depuis une année, a installé ses bureaux au niveau de la nouvelle ville au rez-de-chaussée de l’un des blocs des 180 logements où elle dispose d’assez d’espace pour ses divers services en plus d’une large rue dont une partie est utilisée en guise parking.

Reste à espérer que le reste des services techniques de la daïra, tels que la SUC, la SLEP et l’ANGEM seront aussi installés dans des locaux dignes d’un service public, sachant que les deux premiers ont été provisoirement installés au 2ème et 3ème étages d’un bloc résidentiel au quartier 142 logements, toujours au niveau de la nouvelle-ville.

Quant à celui de l’ANGEM, il est tout simplement « fourré » dans un sous-sol pour ne pas dire une cave à proximité de l’actuel siège de l’APC, dans le même édifice où a été recasée provisoirement la recette communale. Une bâtisse ancienne délabrée où l’usure, l’insalubrité et l’humidité règnent en maître absolu des lieux, et ce, en plus de l’exiguïté. Un révoltant cas qui mérite une prise en charge urgente.

Oulaid Soualah

Partager