Les élus à l’écoute des doléances

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l Depuis que les élus locaux s’acquittent de leurs fonctions respectives, les doléances pleuvent puisqu’elles sont innombrables. Aussi, le vice-président de l’APC, en l’occurrence M. Zammoum Saïd, qui nous a reçus, nous a fait savoir que certes, les bureaux ne désemplissent pas des citoyens qui viennent solliciter aides et/ou solutions à leurs divers problèmes. Dieu seul sait que le citoyen de Boghni a vécu et continue de vivre des problèmes qui durent depuis si longtemps qu’ils paraissent insolubles, à commencer par le chômage qui affecte la plupart des jeunes, proies de l’oisiveté. Cet état de désœuvrement les plonge poings et pieds liés dans les bras des dangers des fléaux sociaux et autres maux d’où ils ne s’extirpent généralement qu’en laissant des plumes et c’est le moins que l’on puisse dire.Vient ensuite le logement qui, aux yeux des citoyens, constitue une priorité puisque le foyer figure au rang des commodités à l’origine de tout épanouissement et bien-être social. Mais de nos jours, il demeure un rêve pour tous ces jeunes en âge de fonder un foyer et espérer vivre une vie de famille.Signalons au passage, que la gent féminine n’est pas en reste ; en effet, elle vit quotidiennement son lot de problèmes qui sont complexes. Vous imaginez si elle ne vient pas, elle aussi, solliciter solutions à ses difficultés. Monsieur Zamoum nous affirme qu’il “fait de son mieux pour soulager le citoyen de son fardeau en fonction, bien sûr, des moyens que possède l’APC”. Mais il ajoute : “Je m’abstiens de m’aventurer dans des promesses que je ne pourrais honorer et le citoyen ne doit en aucun cas faire l’objet d’une quelconque illusion ou démagogie”. C’est une réalité de dire qu’un élu n’est pas éternel à son poste, car il est appelé à partir un jour ou l’autre. Alors, prudence est mère de toute sûreté.

Akli Derrich

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