Sept doyens d’APC honorés par la wilaya de Tizi-Ouzou

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Les portes-ouvertes sur l’assemblée populaire communale (APC), instaurées par le ministère de l’Intérieur et des collectivités locales pour la journée du 18 janvier fut une occasion pour la cité administrative de la wilaya de Tizi-Ouzou, à sa tête le premier responsable de la wilaya, M. Brahim Merad, d’honorer sept doyens d’APC ayant servi à la tête de sept localités, celles de Ouadhia, Drâa El-Mizan, Boghni, Ifarhounène, Aïn El Hammamn, la commune mixte de Thasafth (actuelle Iboudraren) et Ouaguenoun. M. Merad lira, en présence de chefs de daïras, maires et élus locaux et nationaux, la lettre du ministre de l’Intérieur et des collectivités locales. «Le choix de la date du 18 janvier n’est pas anodin. Nous voulions faire coïncider la manifestation avec le 18 janvier 1967, date de parution de l’ordonnance 24-67, stipulant la première décision de création d’une commune algérienne», dira l’orateur, ajoutant : «Cette date se veut être une reconnaissance de l’Etat algérien envers l’une des plus importantes organisations, afin de raviver le sentiment de fierté dans le cœur des élus et des fonctionnaires des APC qui ont donné le meilleur d’eux même à la République, particulièrement durant la décennie noire. Et à cette occasion, je n’incline à la mémoire de ceux qui ont payé de leur vie leur résistance durant ces années de braises…». Les sept doyens, à savoir Menouar Bélaid des Ouadhias, Arab Abderahamane de Aïn El Hammam, Nedjma Belkacem d’Iferhounène, Chabane Sellila de Boghni, Ali Goucam de Draâ El-Mizan, Mohamed Djani de Ouaguenoun et Khlifa Ourir de la commune mixte de Tasafth (actuelle Iboudrarene), qui pour certains d’entre eux furent les premiers à briguer un mandat de maire à la tête de leurs APC, se sont vus remettre des diplômes honorifiques en reconnaissance des services rendus à la République.

Taous C

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