ohamed waliou N’doye avec qui on s’est entretenu au sujet de cette empoignade face à la JSK et qui constitue la force de frappe des Vert et Noir, reconnaît la difficulté de la tâche qui les attend cet après-midi face aux Canaris, mais se veut optimiste. Ecoutons-le.
La Dépêche de Kabylie : pour commencer, comment s’est déroulée la préparation de ce match face à la JSK ?
On s’est exercés comme d’habitude avec beaucoup d’application et de rigueur et on a été soumis au même cycle de travail hebdomadaire. Tout le groupe s’est donné à fond et on a suivi à la lettre le programme concocté par le staff technique.
Vous vous êtes entraînés depuis mardi en l’absence de l’entraîneur en chef Amrani ; comment les joueurs ont-ils vécu cela ?
On aurait aimé bien évidemment avoir notre entraîneur avec nous et ressentir sa présence mais je tiens à vous dire que nous nous sommes donnés à fond comme si il était présent. Tout le groupe s’est montré assidu au programme mis en place par le duo Laabni-Chriet.
D’après vous, il n’y a eu donc aucune préparation spécifique pour ce derby…
Effectivement, on a travaillé comme on avait l’habitude de le faire à la veille de chaque rencontre. La différence se situe au niveau du mental et de la préparation psychologique. Tout le monde sait que c’est un match derby qui a des spécificités et chaque joueur à sa propre vision de la chose. Mais une chose est sûre ; il y a une motivation supplémentaire chez tous les joueurs.
Outre le caractère derby, la JSK s’est renforcée durant le mercato et reste sur un précieux succès à Constantine face au CSC. Comment appréhendez-vous cette rencontre ?
Je reconnais que notre mission ne sera pas de tout repos face à un adversaire qui sera en quête de confirmation après sa victoire à l’extérieur, mais cela ne nous empêche pas de rester optimistes. Nous irons à Tizi en conquérants et nous jouerons pour gagner.
Entretien réalisé par Amine Kaci