Après avoir bénéficié d’une journée de repos consécutivement à une semaine de travail chargée, les camarades de Lahlouh poursuivent, depuis avant-hier soir, les préparatifs du prochain match de championnat contre le CABBA sous la houlette du staff technique. Cela dit, en dépit de l’enjeu capital de ce rendez-vous face au Criquets jaunes de la capitale des Bibans, les Béjaouis s’attellent, le plus sereinement du monde, à peaufiner leur préparation en vue de se tenir prêts pour cette confrontation sur laquelle ils misent beaucoup pour revenir avec le meilleur résultat possible du stade de Bordj Bou Arreridj, et ce, dans le but de mettre un terme à neuf journées de disette. Néanmoins, les joueurs qui ne cachent pas leur grande détermination à aider leur équipe à dépasser cette dure épreuve pour renouer, notamment avec le succès dans les plus brefs délais, attendent, au retour, un geste de leurs dirigeants avant ce match. Ils espèrent, en effet, que la direction leur verse au moins une partie de leur dû avant cette date pour se motiver davantage et mieux se concentrer sur leur mission consistant à sauver leur équipe de la relégation. Par ailleurs, Le driver adjoint Béjaoui, Hakim Younsi, qui reconnait toute la difficulté de la mission de la JSMB en terre Bordjiènne, ce vendredi, pour revenir avec un résultat positif, déclare, néanmoins qu’il reste confiant quant à la volonté des joueurs à relever le défi qui les attend, ce week-end, devant un concurrent direct pour le maintien. À ce sujet, il dira: «Comme vous le voyez, c’est tout le groupe qui se donne à fond aux entrainements. À présent, nous nous attelons à apporter les dernières retouches avant ce rendez-vous du CABBA pour lequel nous restons tous mobilisés à l’effet de le négocier de la meilleure manière qui soit. Ceci dit, notre équipe se trouve en mauvaise posture en championnat, et il est de notre devoir de réagir dès ce vendredi face à notre adversaire qui ne nous pardonnera pas sur son terrain vu qu’il cherchera, lui aussi, les trois points de la victoire».
B. Ouari