L’orateur expliquera le thème de la conférence, en disant que la transcendance horizontale est le regard de l’homme sur lui-même. Cette philosophie remonte à l’époque grecque, quand les poètes en ont parlé en premiers.
Philosophie et poésie : transcendance horizontale» est le thème développé par le poète Mahrez Bouich dans une conférence-débat qu’il a animée, hier après-midi, au centre culturel de la station balnéaire d’Aokas.
Cette problématique met l’homme face à lui-même le forçant, par conséquent, à réagir. Le conférencier situera justement l’homme dans la société algérienne en disant que malgré le verrouillage, il y a des groupes de citoyens qui font de la résistance. Il citera le cas de ce groupe de jeunes d’Aokas qui s’est constitué en comité de sauvegarde de la bande boisée du littoral. L’orateur expliquera le thème de la conférence, en disant que la transcendance horizontale est le regard de l’homme sur lui-même.
Cette philosophie remonte à l’époque grecque, quand les poètes en ont parlé en premiers. Seul l’homme, soulignera le conférencier, peut se donner du bonheur et cela se produira le jour où il tentera de répondre à une série de questions qu’il se posera. Il s’étalera sur le rôle joué par la poésie grecque dans le développement de cette philosophie.
D’ailleurs, pour celui-ci, ce sont plutôt les poètes qui l’ont faite découvrir à la population alors que ça aurait dû être les politiciens. Il parlera également de l’homme face à l’environnement et de la poésie en tant que regard interrogatif sur la misère de l’homme. Il conclura sa conférence en soulignant que toutes les questions traitées par les poètes sont liées à l’homme. Après les débats, le conférencier a dédicacé son recueil de poésie intitulé «L’ombre de mes calamités».
A. Gana

