L’APC d’Akbou compte lancer un certain nombre d’études qui ont trait à l’aménagement urbain, lequel accuse des insuffisances flagrantes dans plusieurs localités que compte cette commune, et ce, en sus du chef-lieu. Comme il est connu de tous, les affaires ne vont pas très bien dans cette municipalité en proie à un blocage qui ne dit pas son nom. Les retards accumulés dans la réalisation de projets substantiels et vitaux (on parle de pas moins de 800 opérations) risquent de coûter encore plus cher à cette commune, laquelle possède des potentialités immenses pour sortir de la situation cauchemardesque dans laquelle elle est confinée sciemment ou pas! Pour revenir aux études que compte lancer l’APC, celles-ci sont en phase de consultations et ont trait au renforcement du réseau de l’AEP, ainsi que celui de l’assainissement dans certains quartiers et villages de la municipalité. Ainsi, le village d’Azaghar est concerné par une étude qui portera sur le renforcement de son réseau de l’AEP. Le grand quartier de sidi Ali, sis sur les hauteurs du chef-lieu communal d’Akbou est concerné lui aussi, par une autre étude qui a trait au renforcement du réseau de l’AEP avec une nouvelle chaîne de refoulement. Dans la foulée, le volet assainissement tient, lui également, une part prépondérante dans ces études, où les localités de Laâzib Taslent, Laâzib Tanoudha et Taharacht sont concernées par la réalisation des études et suivis afin de renforcer ou d’étendre les réseaux de l’assainissement au profit des dizaines de foyers non encore pourvus. D’autres quartiers et groupements d’habitations bénéficieront, en revanche, d’études dans l’optique de la rénovation de leurs réseaux d’évacuation des eaux usées. Il s’agit des groupements suivant: Les Aït Bessaï, Ifri boukhetta et le quartier dit « Sonatrach ». Par ailleurs, l’oued Tifrit, qui passe par la localité de Taharacht en coupant par la RN 26, est concerné lui aussi, par une étude qui entre dans le cadre de son aménagement.
S. Y.