«Les protestataires ont fermé les sièges de la daïra, de la mairie, de l’ADE et de l’hydraulique. Nous avons été pris en otages jusqu’à l’arrivée des responsables de l’ADE de Tizi-Ouzou. Pourtant, le problème est pris en charge depuis que nous sommes là. Nous sommes sur le terrain et veillons quotidiennement à la stabilisation et au redressement de la situation. Une cellule de crise a été installée sur instruction de M. Le wali et des décisions importantes sont prises pour mettre un terme à ce problème de manque d’eau. Ce n’est qu’une question de temps, nous appelons à la sagesse et à l’apaisement».
