Le syndicat des inspecteurs est né

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En réponse aux aspirations des inspecteurs de l’éducation, le syndicat des inspecteurs de l’éducation nationale a été créé.

Le conseil national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapest-Elargi) a, en effet, annoncé la naissance d’un nouveau syndicat des inspecteurs de l’éducation. En vue de défendre la cause de cette catégorie de travailleurs et d’exiger la prise en charge de leurs revendications, le syndicat national des inspecteurs de l’éducation nationale est né. Reste à gagner la bataille de l’agrément. «Suite aux nombreuses réunions informelles, préparatoires, couronnées par l’annonce de la naissance du syndicat national autonome des inspecteurs de l’éducation nationale (IEN), une assemblée générale constitutive, regroupant les IEN des différentes wilayas du pays, toutes spécialités confondues, a été tenue le 16 juillet dernier, en vue de la création, cette fois-ci officielle, du syndicat portant la dénomination de Syndicat des Inspecteurs de l’Education Nationale, ayant pour sigle (S.I.E.N», lit-on dans le communiqué de cette organisation syndicale rendu publique hier. Il a été décidé également lors de cette réunion l’installation du bureau national exécutif dont la mission première est le dépôt de dossier d’agrément au niveau des instances concernées et la préparation du congrès. Selon les rédacteurs de ce document, le syndicat des inspecteurs de l’éducation nationale aspire la prise en charge des préoccupations et autres revendications socioprofessionnelles des inspecteurs de l’éducation. Le syndicat en question s’est engagé à assumer sa responsabilité pour l’édification et la promotion du système éducatif, en jouant un rôle majeur au sein des différents ateliers de réflexion et de réformes ouverts par la tutelle. Cette entité syndicale a indiqué dans le même document qu’elle compte sur l’adhésion massive des inspecteurs de l’éducation nationale à travers le territoire national, afin de concrétiser leurs objectifs fondamentaux pour l’essor et la promotion de l’école algérienne et enfin la reconsidération du statut, de la fonction, des tâches et des missions qui leurs sont dévolues.

L. O. Challal

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