Le marché couvert toujours fermé
Les quarante stands du marché couvert de Tadmaït sont toujours fermés. Les personnes bénéficiaires, dont certaines ne sont pas de véritables commerçants, refusent de s’y installer «faute d’espaces», disent-ils. Pour eux, les espaces «sont très réduits». L’APC n’a pas encore pris de décision pour trouver une solution à ce problème qui commence à agacer plus d’un. Devant le silence radio des autorités locales et du chef de daïra de Draâ Ben Khedda qui devrait intervenir pour rechercher une solution, «des marchands réoccupent les trottoirs et une partie de l’ancien marché de fruits et légumes (baraques rasées) et semblent s’installer dans la durée !», avons-nous constaté au niveau de la gare ferroviaire, au carrefour central, à proximité de l’ancien bureau des PTT, sur les deux trottoirs…
Les travaux de la gare ferroviaire avancent
Les travaux de la gare ferroviaire à Tadmaït avancent allégrement. Sur les lieux, des ouvriers et des engins sont à l’œuvre. Les rails sont placés et arrêtés au niveau de la gare flambant neuf. La voie ferrée ne tardera pas à faire son prolongement dans les meilleurs délais, étant donné que des assurances ont été données pour son inauguration prévue début 2017 pour entendre le train siffler en direction de Tizi-Ouzou mais la gare de Draâ Ben Khedda n’est pas pour autant dans la même configuration que les deux autres, à savoir Tadmaït et Boukhalfa, au niveau du CFPA. Ces gares sont très attendues car le train reprendra ce qu’il avait perdu comme voyageurs et rendraient d’énormes services et atténuerait les retards des fonctionnaires et autres ouvriers, dus aux embouteillages.
Des abribus mal entretenus !
La gare routière de Tadmaït se trouve dans un état de dégradation avancé. L’entretien des lieux n’est pas assuré par les services de l’APC, ni l’aménagement de la part des services de la DTP qui, pourtant, ont été promis il y a quelques mois. Les abribus sont dans un état désolant. C’est aussi le même sort qui est réservé à l’abribus de Tadmaït vers Tizi-Ouzou, en passant par Draâ Ben Khedda. C’est un miracle si des accidents ne sont pas signalés à leur niveau. Il est à relever l’état répugnant du premier arrêt. Des odeurs nauséabondes vous donnent le tournis et il est impossible d’y prolonger l’attente.
M.A.Tadjer
