Brèves de Fréha

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Le mouvement associatif peine à trouver ses marques

Peut-on vraiment parler de mouvement associatif à Freha, ou du moins ce qui l’en reste ? A une certaine époque, ce mouvement a été incarné par une association « Association culturelle Thagmats Nath Djennad » qui a activé et occupé le terrain par sa présence, notamment au niveau de la maison de jeunes de la localité, et ce, avec la création de plusieurs ateliers, comme celui de couture pour jeunes filles, d’initiation à l’informatique ou au théâtre, ainsi que celui de l’alphabétisation… Cependant, ladite association a été vite rattrapée par des problèmes financiers et de subventions. Chose qui a eu un impact négatif sur ses activités et provoqué la fermeture des ateliers susmentionnés, un par un jusqu’au dernier. Depuis, l’association, mais aussi la maison de jeunes se sont mis «en veille». Fort heureusement, et depuis près d’une année, un groupe de jeunes motivés se sont mis à réactiver l’association et faire revivre la maison de jeunes de nouveau.

Ces marchands de l’informel qui amplifient le risque sur la route

Quand on parle de ronds-points, ça sous-entend circulation routière, donc par ricochet sécurité des automobilistes. A Fréha, un rond-point construit par l’APC à l’embranchement menant vers le chef-lieu, en face de l’usine Electro-industries (ex-ENEL), pose un sérieux problème au niveau de la RN 12, pour les automobilistes. Le problème avec ce rond-point c’est qu’il est placé presque au beau milieu d’une voie rapide, obligeant, de ce fait, les automobilistes, surtout ceux qui ne sont pas du coin, à freiner rapidement et l’éviter de justesse. Ceci sans parler des priorités que ces derniers doivent négocier. Comme si ça ne suffisait pas, un autre problème qui a trait au commerce informel vient s’ajouter. En effet, des vendeurs à la sauvette de fruits et légumes installent leurs marchandises juste a côté dudit rond-point, et rendent, en conséquence, la circulation routière plus difficile. Bien qu’ils aient été «chassés» plusieurs fois par les agents de l’ordre, ils se font plus persistants et reviennent à la charge. Décidément, et jusqu’à preuve du contraire, les élus locaux ne semblent pas gênés par cette situation.

A. D.

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