Ecoliers en danger sur la RN25 !

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Plus de 500 élèves des trois cycles (primaire, moyen et secondaire) traversent la RN25 quatre fois par jour pour se rendre à leurs établissements respectifs. Cette route est aussi traversée par des dizaines de fidèles qui se rendent à la mosquée du chef-lieu communal. Les passants sont exposés au danger d’accidents, particulièrement à l’endroit où se succèdent deux virages qui se situent juste à quelques mètres de la mosquée. L’autre point de passage qu’utilisent fréquemment les écoliers, et susceptible de causer des accidents, est celui situé à l’entrée de la cité «100 logements CNEP», où sont implantés trois établissements scolaires, à savoir l’école primaire «Mahfoudi Elwalid», le CEM et le lycée polyvalents. Au niveau de ces deux points de passage, le risque d’accidents est omniprésent. Pour éviter qu’un accident ne survienne, les autorités et les services compétents sont appelés à prendre les mesures nécessaires, en songeant, par exemple, à édifier une passerelle à hauteur de la mosquée, pour permettre aux piétons de traverser la route en toute quiétude et sécurité. Aussi, d’aucuns suggèrent l’ouverture d’un passage qui longera la mosquée, pour permettre aux écoliers de se rendre à leurs établissements scolaires et leur éviter de longer la route nationale. Actuellement, les écoliers longent la RN25 sur une distance qui avoisine les cinq cent mètres en empruntant un accotement très étroit d’une largeur d’à peine 30 cm par endroits, pour, ensuite, traverser la route au niveau de la cité CNEP, afin de se rendre à leurs établissements scolaires respectifs. Il faut noter que les responsables locaux ont déjà procédé à l’installation de deux ralentisseurs au niveau des deux points de passage de la RN25, mais cela reste insuffisant, car certains conducteurs, souvent surpris en découvrant ces dos d’ânes, ne prennent pas le soin de ralentir et abordent les ralentisseurs à une vive allure. Ceci pour la simple raison que ces ralentisseurs ne sont pas signalés par un panneau. Devant l’omniprésence du danger, les habitants de la cité 100 logements et ceux de la cité Bouri Kaci souhaitent que les responsables concernés mettent en place une passerelle, pour leur permettre de passer d’une rive à une autre en toute sécurité.

A. B.

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