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L’éclairage public remis à neuf…

L’équipe d’entretien de l’éclairage public au niveau de l’APC d’Ain El Hammam a ciblé les rues de la ville et a procédé à la remise en fonction des lampadaires. En cette période durant laquelle la nuit tombe tôt le soir, les citoyens qui rentrant tard chez eux, ne seront que réjouis de pouvoir emprunter des routes éclairées et éviter, ainsi, toute rencontre indésirable. Les marchands ambulants du marché, qui arrivent à Michelet aux aurores, ont actuellement toute latitude d’installer leurs étals depuis que les lampes grillées et les candélabres défectueux ont été remplacés. Le boulevard, reliant la daïra à Sidi Ali Ouyahia, dans les ténèbres à une époque, est également éclairé. Une opération de remplacement de supports et de candélabres a eu lieu auparavant. Les ouvriers ont, en effet, procédé au changement de câbles souterrains endommagés en plusieurs endroits. Pour éviter toute panne future ou danger éventuel, ils ont été remplacés par des conducteurs aériens accrochés aux pylônes, faciles d’accès, qui longent le boulevard. Des réparations ont également ciblé le tronçon allant de la ville au CEM «Ouaghzen», où les lampes défectueuses ont été changées. Cet axe, très fréquenté par des voitures et des piétons, englobe aussi, la route d’Akkar, desservant l’hôpital et le lieu-dit «ahechad Bouakouir». Il faut dire que depuis que l’APC s’est dotée d’un camion nacelle, les pannes d’éclairage des rues, de la ville particulièrement, sont de moins en moins fréquentes. «Dès qu’on nous signale une avarie quelconque, notre équipe se déplace pour procéder aux réparations nécessaires», dit un responsable à l’APC. Les luminaires en panne, ou dont les ampoules sont grillées, ont été réparés dans les ruelles de villages, comme constaté à Taourirt Menguellet. Plusieurs quartiers situés à la périphérie des villages, non encore éclairés, attendent l’opération d’installation des lampadaires qui ne saurait tarder. C’est le cas du quartier «Thighrivine», à une centaine de mètres de Tililit, ou encore la nouvelle route en contrebas des Ath Khlef et autres. Pour que la quasi-totalité du territoire de la commune soit éclairé, Il ne reste que quelques tronçons tels ceux de «Thimedouine» et d’ «Ahemlat» qui ne tarderont pas, si les moyens le permettent, à sortir des ténèbres. L’inexistence de supports, le long de ces axes, ne permet pas, actuellement, d’installer des lampadaires.

A. O. T.

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