La vague de froid qui sévit depuis des semaines déjà dans la région a mis dans tous leurs états les ménages, poussés à se rabattre sur les équipements de chauffage afin de s’en prémunir. Ainsi, ne lésinant pas sur les moyens, les ménages prennent d’assaut les commerces de l’électroménager afin de s’acheter les radiateurs, électriques ou à gaz, dans l’objectif de lutter contre un froid sibérien qui règne sans partage depuis le début de l’année en cours, avec des températures qui chutent, le plus souvent, au-dessous de zéro degré. Pour leur part, les établissements scolaires ont grandement besoin du matériel de chauffage adéquat pour permettre aux élèves de suivre dans de bonnes conditions les cours. Dans la commune de M’Chedallah, pour la simple illustration, tous les établissements scolaires sont dotés du chauffage qui permet de meilleures conditions d’études. Néanmoins, certaines écoles, non encore alimentées en gaz, ne sont équipées que de poêles à mazout, complètement surannées de nos jours, sachant que le taux du raccordement au réseau du gaz de ville a considérablement augmenté ces dernières années. Les poêles à mazout, comme il est connu, ont leur lot de désagréments avec l’odeur désagréable du combustible, et la fumée qui peut s’en échapper, surtout si elles sont vétustes. Certaines écoles de la commune de M’Chedallah fonctionnent encore avec ce type de chauffage. Néanmoins, l’on apprend que l’APC compte « en finir » avec cet équipement en projetant de raccorder les établissements scolaires concernés au gaz de ville. Ainsi, pas moins de quatre écoles primaires situées dans la municipalité de M’chedallah sont concernées par le branchement au gaz de ville. Il s’agit, respectivement, des écoles Sassi Achour de la localité d’Ath Yakhlef, Azouz Amar et Guelaz Brhaim du village Assif Assemadh et enfin de l’école primaire Nedjam Abdelkader d’Ath Yevrahim.
Y Samir.