Les explications du directeur de l’EPH

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Dans votre édition du 23/2/2017, en page 6, un article fut réservé au décès d’un citoyen d’Ain-El hammam sous le titre : Le vieux Saïd, aurait-il pu survivre à sa chute s’il y avait une ambulance pour l’évacuer ? Juste après l’admission du regretté «Vieux Saïd» au pavillon des urgences de l’EPH de Ain-El Hammam, l’équipe médicale, composée d’un chirurgien viscéraliste, d’un chirurgien orthopédiste, de deux réanimateurs et de deux médecins généralistes ainsi que toute l’équipe paramédicale, qui n’ont d’ailleurs ménagé aucun effort dans la célérité de la prise en charge de l’accidenté qui a été très vite intubé et ventilé par les réanimateurs. Ayant constaté une nécessité urgente – après que le chirurgien eut pratiqué une PLP sur la victime – elle a été évacuée dans l’ambulance – effectivement – de la protection civile ; le service concerné à jugé que celle-ci était plus appropriée en espace et autres. L’évacuation a été bel et bien médicalisée, contrairement à l’information rapportée dans l’article en question. Un médecin généraliste, un auxiliaire médical en réanimation et un infirmier ont donc accompagné cette évacuation. La rapidité avec laquelle a été prise en charge la victime n’a souffert d’aucun manque ni problème de disponibilité d’ambulance à l’hôpital d’Ain-El hammam, l’ambulance de la protection civile se trouvant sur place au pavillon des urgences.

Nouri Boussad

Directeur de l’hôpital AEH

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