Manque d’éclairage public

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Les débrayages des employés de l’APC n’affectent pas la délivrance de pièces d’état civil seulement, mais ils entravent aussi d’autres services tels la voierie, la réhabilitation de l’éclairage public et autres.

Contrairement à l’an dernier, où toute la commune était éclairée bien avant la venue du mois de Ramadhan, cette année, certains quartiers et villages ne sont pas encore illuminés. Avec les grèves répétitives des communaux, les agents affectés à cette tâche n’arrivent pas à remettre en état tout le réseau, bien qu’ils s’y attellent depuis plus d’un mois. Cependant, une seule journée de sortie du camion nacelle par semaine, ne peut suffire à traiter le vaste territoire de la commune, dont une bonne partie du réseau est défaillante. À La cité Akkar et une partie de la ville, particulièrement sur la rue d’Ait Yahia, les ampoules grillées ne sont pas encore remplacées. Il en est de même de la route d’Alger ou de celle de l’auberge, plongées dans le noir depuis longtemps, et attendant que le réseau soit mis en service alors qu’il a été réhabilité. Cet état de fait se ressent sur la circulation des piétons et même des automobilistes, en cette période de carême, où les mouvements nocturnes de personnes et de véhicules est le plus important de l’année. Par ailleurs, le manque de lumière aux abords de certains villages, expose les noctambules aux agressions de chiens errants, qui semblent avoir proliféré ces derniers temps. Les villageois qui se déplacent pour se rendre au café local, ou en ville, doivent s’aider d’une lampe torche pour éviter les chutes.

A.O.T.

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