L’éternelle attente

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La nouvelle cité universitaire des filles de la ville de Bouira n’a pas encore ouvert ses portes devant des centaines de résidentes qui attendent une place d’hébergement. Actuellement, elles sont près de 300 étudiantes à résider chez leurs camarades au niveau des cités filles Kebbal Aicha et Zitouni Seddiki. Une prise en charge temporaire tolérée par l’administration mais qui crée une surcharge au niveau de ces deux cités. Annoncée pour la rentrée universitaire, l’ouverture de cette cité U n’a tout simplement pas eu lieu en raison du retard mis dans l’installation de divers équipements. Il y a deux mois de cela, les services de la direction des œuvres universitaires (DOU) de Bouira avaient annoncé que la cité serait prête pour fin octobre. Les mêmes services évoquaient à l’époque un retard dans l’installation des équipements frigorifiques et de la cuisine au niveau du réfectoire. Selon eux, l’ouverture de la cité n’était qu’une question de jours. Or, deux mois après la cité demeure fermée. Pourtant, l’ex wali Mouloud Cherifi avait donné des instructions fermes à l’occasion de la visite du projet de réalisation de cette cité quant à la nécessité d’accélérer les travaux pour livrer le projet à la rentrée. L’on apprend cette semaine du directeur des services de la DOU que la cité fille sera ouverte au mois de janvier prochain.

D. M.

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