Premier Festival international des arts

Partager

À l’effet de développer la vocation culturelle, touristique et artisanale de la capitale des Hammadites, l’association Tafthilt Inazouren de Béjaïa prépare activement le premier Festival international des arts qui se tiendra du 23 au 28 de ce mois de mars, à la Maison de la culture Taos Amrouche du chef-lieu.

La manifestation, placée sous le haut patronage du ministre de la Culture et du wali de Bejaia, est organisée en collaboration avec les directions de la culture, de la jeunesse et l’APC de Béjaïa. Elle verra la participation de 20 wilayas et 10 pays étrangers : la Tunisie, la France, l’Allemagne, l’Egypte, le Soudan, la Jordanie, la Lybie, l’Iraq, Dubaï et le Maroc. Parmi les objectifs visés par l’association organisatrices «le développement de la culture, de l’artisanat et du tourisme dans la wilaya de Béjaïa, ainsi que le développement des échanges culturels entre jeunes». La cérémonie d’ouverture officielle du Festival aura lieu, le mardi 24 mars à 10 heures. Le programme commencera par une grande exposition de bijoux berbères et une exposition allemande de sculpture, de couture et de peinture. Au menu également, une méga-parade en motos, une exhibition sportive (club sportif karaté do), la troupe S’Hab-el-baroud, des danses folkloriques, les scouts et la participation des troupes folkloriques de chaque pays présent. Les festivités se poursuivront les jours suivants par des expositions d’objets d’art et d’artisanat, des galas animés par des artistes de renom, des danses folkloriques et des conférences sur l’art, la culture et l’artisanat animées par différents spécialistes des pays participants. L’association culturelle «Tafthilt Ounazour» n’est pas à sa première action du genre, puisque, depuis sa création, elle a organisé 11 manifestations similaires à Béjaïa et dans d’autres wilayas, notamment à Constantine et Tlemcen. Ses activités ont également eu lieu à l’étranger, comme en Tunisie, du 21 au 24 décembre 2017, et au Maroc du 14 au 21 janvier 2018.

B Mouhoub.

Partager