C’était lundi soir, lorsqu’il intervenait par téléphone depuis l’Algérie dans l’émission Addal + de notre confrère Lounis Temzi. «Qu’on arrête le massacre de notre football, il faut tout revoir et mettre les gens qu’il faut à la place qu’il faut. Pas d’amitié, ni de proche, seules les compétences doivent primer», dira-t-il lorsqu’il dut commenter la situation de l’équipe nationale de football. Autrement dit, tout est à revoir pour lui, les dirigeants, le coach et la sélection. Quand l’animateur fera la transition pour lui évoquer la probabilité de l’arrivée de Menad à la tête de la JSK, Djahnit a clairement suggéré que ce n’était pas la meilleure option. Après les formules de politesse d’usage du genre «Djamel est un enfant du club» et «la JSK c’est chez lui», l’ex-buteur des Jaune et Vert finira, toutefois, par lâcher qu’il ne «pense pas que c’est là la meilleure option pour la JSK».
Quand Abderrazak Djahnit parle sans gêne sur Berbère TV
