Par S. Ait Hamouda L’incommensurable est à bien des égards, sans la fatuité des considérations mesurés ou pas, défaitiste. Il n’y a pas de problème de rendre ou de garder pour soi la mesure sue et ignorée de la convergence des paroles dans un souk à palabres. Où chacun tient ses propos en dehors de l’aura qu’ils soient propres ou non, dès lors que le déficient tient lieu de parfait et où tout le monde se prend pour ce qu’il n’est pas, dans la mesure où il se meut, en clopinant dans le dédale des cités en ruine. Le célèbre aura pour son absolution quand il le méritera, mais sa mouture ne sera totale, que quand il prouvera ses dispositions à consommer le parfait et le contraire de ce qui est normalement mangeable sans danger, qu’à cela ne tienne, lorsque l’on voit par le bout de la lorgnette, ce qui préoccupe le commun des mortels au point de rendre l’utile, le consommable et le nuisible pour la santé des gens, là il arrive que l’on se pose des questions sur l’apriori aux fins de définir, le vrai de l’ivraie, dans les moments de doute. Cependant, que l’on ne prouve, par des distinctions farfelues le bien fondé de tout cela, il ne reste plus qu’à revoir les copies, des gus qui se prennent pour ce qu’ils ne sont pas. Qu’ils soient élus ou pas, ils vont se déhancher devant les maîtres et se courber l’échine à force de subir à fortiori les affres des ordres de personnes qui ne se sentent, en tous points, pas responsables pour un iota, mais qui se sentent en tous lieux et tous instants, chargés d’admonester ces commis de l’Etat parce qu’ils occupent un trône qu’ils n’ont pas mérité. Le feu brûle les forêts, la végétation et quelquefois tout ce qu’il peut atteindre, sans ménagement, pour les hommes, la faune ou la flore, et ses langues de Géhenne atteignent parfois l’indicible pour anéantir tout ce que l’homme a bâti, a bêché, a labouré, de sa sueur à en perdre haleine. Cependant c’est ça le fils d’Adam et il aura mérité tout ce qui lui arrive.
S. A. H.