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Les scouts sont de retour

l Ayant disparu durant les années 80, la section des scouts musulmans algériens baptisée troupe Abderahmane-Mira a revu le jour depuis quelques mois et connaît un engouement certain pour atteindre aujourd’hui plus de 120 éléments, tous âges confondus, soit de 7 à 18 ans, tels que Abderahmani Lounès et Zeggane Koceila. Sur une intiative de Medjber Abdelaziz, il a été procédé à la création de cette troupe qui travaille d’arrache-pied. La préparation s’effectue à la Maison de jeunes de Tazmalt. Encadrée par d’anciens scouts et du jeune Habtiche Toufik, la troupe a donné plusieurs représentations déjà, en plus des différentes tournées qu’elle a eu à faire au complexe touristique de Tikjda, Yemma Gouraya aussi qu’une visite au journal El Khabar.En attendant que les moyens nécessaires soient mis à la dispositions de cette troupe, elle se contente dans un premier temps de l’aide de l’APC, qui n’a pas cessé de lui renouveler sa disponibilité en lui octroyant des bus pour ses différentes sorties, ainsi que la Maison de jeunes de la ville qui assure des cours d’informatique et de langues pour ses éléments. A signaler enfin que pour une meilleure prise en charge de ces jeunes scouts, les encadreurs vont bénéficier d’un stage de secourisme durant cet été, afin d’enrichir leurs connaissances dans ce domaine.

A. L.

Un puits pour Metchikl C’est une grande première pour le village de Metchik (Bomdjellil) qui vient de bénéficier d’un premier projet depuis l’indépendance du pays pour la réalisation d’un puits d’une quinzaine de mètres de profondeur sur 3m de diamètre environ.La réalisation du projet, en chantier actuellement, devrait pouvoir alimenter la population de ce village où les citoyens, confrontés à un enclavement cruel, n’ont eu d’autre choix que de recourir à l’achat de citernes pour approvisionner leurs ménages en eau potable. Pour rappel, un projet qui leur était prédestiné, il y a une décennie, et qui avait englouti plusieurs milliards de centimes n’a jamais pu voir le jour. En cause : pomper de l’eau à partir d’un forage à Taghza vers Metchik sur une distance d’environ 14 km et un relief élevé, s’est révélé techniquement impossible. Conséquence : le réseau inutilisé a fait les frais de la corrosion. L’argent public a été gaspillé pour rien et le dossier définitivement clos !

Z. F.

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