En vertu du droit de réponse, l’ensemble des corps associatifs du village Aït Daoud, commune de Yatafène, ont l’honneur de vous demander de bien vouloir publier dans les colonnes de votre journal les précisions ci-après, relatives à l’article paru dans l’édition du 15 mai 2006, sous le titre Le wali en visite.Les points les plus importants faisant objets d’oubli et méritant d’être cités ont été :L’accueil dans notre village, par ses habitants et particulièrement par les jeunes élèves, accueil qui fut tout simplement sublime. Que la mosquée inaugurée et baptisée au nom de cheikh Benaïssa Mohand Larbi avec le superlatif dit “chikh El Kamkoum” (omis par le narrateur) est un chef-d’œuvre qui a ébloui les hôtes et dont les doléances ont reçu l’aval du wali.Que l’école primaire d’Aït Daoud, primée par l’UNICEF n’est pas une distinction ordinaire, le wali lui-même fut émerveillé par la production de très jeunes élèves lui souhaitant la bienvenue sur les écrans des 7 PC offerts par l’UNICEF pour les meilleures écoles à l’échelle nationale. Sans oublier la visite d’une bibliothèque bien meublée, variée et riche en documents faisant la joie de cette école. La restauration saine et soignée dans un réfectoire très propre inauguré par le wali en la circonstance n’est pas non plus un acte anodin.La remise de tableaux, au wali et au président de l’APW par de jeunes élèves, portant une inscription en guise de témoignage et de gratitude des habitants de notre village, honorés, car cette visite qui est la première du genre depuis l’indépendance, n’est pas non plus un geste futile, qu’il ne fallait pas mépriser.La gerbe de fleurs déposée sur le carré des martyrs ne doit pas être ignorée, non plus.
Les signataires : Membres du comité du village Aït Daoud