Ces décharges qui prolifèrent

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l Le visiteur non-averti au chef-lieu de la commune d’Ath Laâziz, le village Bezzit Haut, constatera sans aucun doute l’état lamentable dans lequel vivent les habitants. En effet, la dégradation des conditions de vie des familles est due à la prolifération des décharges sauvages dans plusieurs endroits. Lors de notre déplacement à Bezzit Haut, des citoyens se sont interrogés sur l’implantation de la décharge communale à proximité des habitations, et ce à quelques mètre du nouvel établissement scolaire actuellement en chantier. Cette situation se complique notamment à l’approche de la saison d’été. Tout comme le cas des malades. D’ailleurs un citoyen nous a déclaré “à la mosquée, les citoyens respirent difficilement”. D’autre part, une décharge sauvage est située au centre du village. A ce titre, il est utile de noter que les habitants assument la responsabilité quant à la dégradation des conditions de vie, ainsi qu’à la propagation des maladies. “Nos habitants sont livrés à eux-mêmes…”. Par ailleurs, nous avons constaté qu’à proximité du centre de santé dudit chef-lieu un autre point existe pour le dépôt des ordures, les malades sont obliges d’humer les effluves de la décharge pour accéder au centre de soins…

A. F.

Un trottoir SVP !l Les travaux pour la réalisation d’une clôture pour le cimetière du village Bezzit Haut, ont suscité la colère de quelques citoyens. En effet, les citoyens réclamaient la réalisation d’un trottoir ou du moins un accotement afin que les piétons puissent circuler en sécurité : “Venez le matin, à l’heure où les écoliers se rendent dans leurs établissements et vous constaterez le danger; Alors que les automobilistes roulent à une vitesse excessive, il faut réaliser d’abord un passage pour éviter l’irréparable”, nous lance un citoyen en colère. S’agit-il d’un projet réalisé dans le cadre de l’aménagement urbain, nous avons essayé de joindre l’APC d’Ath Laâziz mais en vain.

A. F.

Même pas un espace de jeu

l C’est indigne qu’un chef-lieu communal comme celui de la localité d’Ath Laâziz (village Bezzit Haut), ne soit toujours pas pourvu d’un espace de jeu pour une population dont 80% sont des jeunes. En effet, les jeunes ne savent plus à quel saint se vouer. Puisque aucun espace n’est aménagé pour disputer une partie de football ou autres activités. Ils sont nombreux, des jeunes qui réclament l’implantation d’un espace de jeu. “En été, nos jeunes, étudiants cherchent un lieu pour faire du sport mais ulac” a déclaré karim. Pour rappel, non seulement le chef-lieu de la commune d’Ath Laâziz est privé d’une aire de jeu, mais aussi l’ensemble des villages et hameaux vivent la même situation. A quand une prise en charge de cette frange de la société à Ath Laâziz ?

A. F.

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