Le wali de Tizi avoue son faible pour…Oum Kalthoum

Partager

A l’occasion de la journée de l’artiste célébrée jeudi dernier, le wali de Tizi Ouzou a tenu à donner une collation au salon d’honneur de la wilaya en l’honneur des artistes de la région. Entre autres les familles des défunts : le compositeur Rachid Stiti, le peintre Ahmed Azzouzi, et les artistes Achir Madjid ainsi que Amar Seghir. Etaient présents également à cette cérémonie initiée par la Maison de la culture d’autres artistes, notamment des représentants du syndicat de ces derniers. Au delà du protocole et du rituel de remise de présents pour la circonstance, un fait insolite a marqué le rendez-vous : A un moment donné, le salon a été envahi d’un épais brouillard et une odeur insistante de thé brûlé. C’était effectivement le cas. Le maître d’hôtel accourrut alors pour ouvrir grandes les portes pour éviter d’attirer l’attention du wali… ça a vraiment paniqué derrière son dos! Au sortir, ce dernier qu’on interrogeait sur ses goûts musicaux nous avouait son faible pour «El Charqi. Enfin j’écoute un peu de tout. ça dépend de l’humeur du moment». El Charqi algérien ? «Lala, vraiment Charqi, Charqi…», répliquait-il. Pour les noms, il n’en citera qu’un seul. Celui d’Oum Kelthoum.

Partager