“Aller le plus loin possible dans ma carrière”

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La Dépêche de Kabylie : Présentez-vous d’abord à nos lecteurs ?Hocine Kaïdi : Je suis un jeune homme de 27 ans, commerçant de mon état et sportif dans le sang, à l’image de mon défunt père Omar qui était lui-même un excellent joueur avant sa mort tragique sur un terrain de football le 10 janvier 2003. Une mort semblable à celle de feu Gasmi de la JSK (que Dieu ait leurs âmes). Pour revenir à mes débuts dans le football et, comme tout joueur, j’ai donc débuté dans le club de ma région, l’ex-IRB Tichy (actuelle JST) en tant que joueur de champ. Puis j’ai atterri au MB Béjaïa (5 saisons), à l’US Soummam (2 saisons) et enfin au NC Béjaïa durant l’exercice écoulé. Après mon passage au MBB et sur conseil de mon entraîneur de l’époque, M. Founas, au poste de gardien de but alors que j’étais dans la catégorie juniors.L’avez-vous regretté après ?Non, pas du tout, puisque M. Founas ne cessait de me dire que j’ai toutes les qualités requises pour faire une belle carrière à ce poste. Dieu merci, aujourd’hui je m’y plais bien. La preuve de mon amour pour le sport est ce désir de réussir au plus haut niveau de la pyramide. Connaissant justement mes qualités, je veux vraiment évoluer au plus haut niveau de l’échelle, pour peu que l’occasion se présente pour moi. Je sais toutefois que cela vaut des sacrifices énormes mais j’y arriverai si Dieu le veut. A présent je m’entraîne avant même la reprise avec mon ami Hakim Haddadi à Maghra (Tichy) pour garder la forme ceci, en attendant aussi une éventuelle offre intéressante pour amorcer peut-être un nouveau départ dans ma carrière. Et c’est tout ce qui importe pour moi.Avez-vous des contacts à présent ?Des contacts informels oui, tels que le NCB, l’USMB, le CRB Kherrata et le CRB Aokas. Mais si je reste à Béjaïa, j’irai à l’USMB par respect pour M. Azzi qui n’a jamais caché son désir de m’avoir dans ce club.

Quelque chose à ajouter pour terminer….Je remercie tous ceux qui m’ont aidé jusque-là pour réussir et être ce que je suis aujourd’hui. Merci enfin à vous.

Propos recueillis par B. Ouari

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