l Le client émet toujours un doute quant à la certitude de toucher son salaire à temps dans cette agence. Les plaignants appartiennent au corps de l’enseignement (moyen et primaire). Ils décrivent les peines et la gymnastique qu’ils font au moment de retirer leur salaires de mois. Dans le besoin, et souvent à court d’argent, ils sont obligés de se déplacer à Draâ El Mizan pour retirer leur dû. Les nécessiteux, classe sociale démunie, n’apprécient pas la façon dont cette agence les traite au moment de leur remettre les 1000,00 DA représentant d’aide mensuelle de l’APC.Les cours de rattrapage prévus au CEM Djouahri Ali pour le 26 juin 2006 aux élèves de 1ère et 3ème année ont été reportés. Les convocations adressées par la poste ne sont pas parvenues à temps aux élèves de cet établissement. Le bureau de poste, travaillant sur ordinateurs, justifie les retards dans les payements des mensualité par le fait que des coupures fréquentes d’électricité empêchent l’agent payeur de mener à bien sa tâche.Bien entendu, la partie plaignante rejette les raisons avancées. Que peut espérer un client, s’adressant à un prestataire de services, si ce n’est de repondre à son attente. Le travail de contact avec le public exige une rapidité dans l’exécution, et une retenue dans l’accueil.
A. C.