M. Metref Hassane (président de la Ligue des arts cinématographiques et dramatiques de Tizi Ouzou) : “Nous avons donné un cachet international au festival Raconte-Arts, l’appel de la montagne avec peu de moyens, nous avons essayé de les mettre en synergie. Pour la réussite de notre initiative, pour cette année, nous enregistrons la participation de six pays, des Marocains, une Américaine, des Belges, des Français et d’autres nationalités. Nous avons voulu, cette année, délocaliser le festival en associant la daïra des Ouadhias aux côtés des Ath Yanni. Nous aspirons à une très large participation d’autres régions dans un avenir proche. La population d’Ath Yanni était, comme celle des Ouadhias, au rendez-vous. Le festival a eu un écho très favorable, il y a peu de moyens mais beaucoup de générosité. Nous souhaitons que ce désert culturel que notre région a vécu soit définitivement dépassé afin d’instaurer une véritable tradition culturelle.”
M. Michel Terral (formateur) : “Le Festival est un appel à la vie”“Je suis venu pour former, dans de petits stages, des clowns ; je suis de la Bataclown Compagnie, j’avoue que je suis très touché par l’ambiance chaleureuse dégagée, elle est presque familiale. Le festival est un appel à la vie, je suis de retour en Kabylie après 15 ans de ma première venue en Algérie. Je trouve la Kabylie aussi accueillante, dynamique et surtout vivante qu’il y a des années. Elle est toujours sous le regard de Lala Khedidja”.