“Faire en sorte que la saison avec les Crabes soit une réussite

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La Dépêche de Kabylie : Question rituelle, comment s’est concrétisée votre venue au MO Béjaïa ?ll Y. Abdiche : C’est simple. C’était par le biais de mon coach actuel Slimani qui était également avec moi la saison passée au MC El Eulma. J’avoue aussi que je suis ravi de le retrouver ici au MOB car c’est un homme qui maîtrise parfaitement son sujet. Ceci dit, j’espère de tout cœur réussir avec lui une saison exceptionnelle avec, au bout pourquoi pas, une accession historique en Division I.

Croyez-vous qu’il est aussi facile de réaliser une telle performance dans ce groupe où nombre d’équipes sont réputées être chevronnées ?ll Le MOB aussi possède un effectif qui est capable de rivaliser avec n’importe quelle équipe de la super Division II. Croyez-moi, avec l’état d’esprit qui règne actuellement au sein du groupe, je suis persuadé qu’on pourra bien réaliser de belles choses cette saison. Mais ceci ne saurait se faire sans l’aide et l’apport de toute la famille du MOB. Son public mérite bien cela, non ?Ce vendredi, pour le compte de la 3e journée du championnat, vous allez recevoir le MCEE, votre ancienne équipe, un commentaire la-dessus ?ll A présent, je suis chez moi et avec le MOB, donc, je me donnerai à fond sur le terrain pour ne pas décevoir notre cher public et empocher par là même, les trois précieux points. Pour prétendre jouer l’accession, je pense qu’il est impératif aussi de faire le plein à domicile et de récolter le maximum de points à l’extérieur.En tout cas, nous sommes déterminés à vaincre El Eulma ce vendredi, et le choc dû à notre fâcheux accident près d’Azazga lors de notre retour de Sidi Bel Abbès n’est à présent qu’un mauvais souvenir dans nos esprits.

Un mot pour conclure ?ll Comme je vous l’ai dit tout à l’heure, je suis revenu chez moi à Béjaïa pour évoluer dans ce club populaire de la wilaya et pour cela, j’espère de tout cœur réaliser mon rêve et celui de nos milliers de supporters : accéder en Nationale I.

Propos recueillis par B. Ouari

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