“Ce n’était pas un congé, mais un retrait »

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Cinquante jours après l’absence du président de la République sur la scène nationale, le ministre de l’Intérieur a levé le voile sur une partie de l’énigme. Interrogé, hier, en marge de l’ouverture de la session d’automne du Parlement, Noureddine Yazid Zerhouni a répondu spontanément que le Président n’était pas en congé mais que « c’était un retrait « . Sans plus, puisque le ministre n’en dira pas davantage, se limitant à cette phrase énigmatique, d’autant plus que le chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, répondant à une question d’un confrère, avait indiqué que « le Président a le droit de prendre congé comme tout citoyen algérien ». De toute façon, le chef de l’Etat va faire son apparition aujourd’hui, à l’occasion d’une rencontre des gouverneurs des banques arabes et se rendra, juste après, à l’Amirauté pour une inspection, comme cela a été communiqué par le service de presse de la Présidence.

A. B.

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