Bras de fer entre le CRRT et Shotokan

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La paisible ville des ruines romaine et des eaux minérales de Toudja est secouée depuis quelques temps par un problème qui met en confrontation le club de volley ball le CRRT, à celui des Arts martiaux et de bulding : shotokan pour l’utilisation de la voûte sportive communale.Cette infrastructure réceptionnée récemment a été accueillie avec enthousiasme par cette formation de volley-ball, dont l’enjeu principal pour cette saison, n’est autre qu’une accession en nationale une de son équipe senior dames. En fait, cette voûte que tout prédestinait à la discipline du volley-en priorité- se présentait comme la fin des problèmes de cette équipe notamment pour les domiciliations de ses matchs, et ceux de toutes les autres catégories qui jusque là, jouent et s’entraînent soit à ciel ouvert, soit dans des salles à Bgayét même. Une fin de calvaire en somme. «Ce club ayant fait ses comptes seul, s’est rendu compte à la fin qu’il a réalisé beaucoup de restes», car une nouvelle situation se présentait et qui consistait à partager ses créneaux avec l’autre club Shotokan, qui lui disposait des sections du karaté-do, et du Body-buidding. Qu’à cela ne tienne, car la voûte doit également y recevoir toutes les autres disciplines pratiquées au sein de la commune, c’est la finalité même de cette infrastructure, prédestinent à intégrer incessamment la catégorie minime. Le seul problème dont elle souffre qui se pose avec acuité reste celui de son statut de technicienne qui n’est pas encore mis en valeur, en raison du manque de poste budgétaire qui peut la prédestiner à une carrière ou elle peut évoluer sur tous les plans.Ses revenus actuels se résument au pécule que lui attribue son club employeur le Nacéria de Bgayét, qui certes lui est indispensable, mais qui est par ailleurs, loin de rémunérer ses besoins… et ses services.Elle continue à œuvrer de toutes ses forces au sein de son club et de sa discipline en attendant que de meilleures opportunités s’offrent à elle.

M. O.

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