Quand l’investissement vient à manquer

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l Implantée à la sorte de la ville sur l’axe routier menant vers la localité d’Aït Aggouacha, la zone d’activité d’Aboudid n’attire guère les investisseurs. En dépit des commodités offertes (eau, électricité…) en plus de la viabilisation de l’endroit, les investisseurs ne se bousculent pas au portillon.

Ce désintéressement est dû selon certains au choix de l’endroit. Cette crainte est jugée injustifiée par les élus locaux, sachant que les capitaux ne manquent pas dans la région et peuvent même venir d’ailleurs (Tizi-Ouzou, Tizi-Rached, Aïn El-Hammam, etc., et même de l’Algérois, du fait que Larbaâ Nath-Irathen est bien située, en plus de ces atouts non négligeables. Cette zone pourrait constituer un véritable poumon économique pour la population locale où le taux de chômage a déjà pris de l’ampleur. Outre la résorption de celui-ci, la redynamisation de la zone donnera un souffle nouveau à la région pour peu qu’on facilite la procédure aux investisseurs ou en apportant les remèdes nécessaires au blocage qui a tant duré.

S.K.S.

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