n Avant de donner la parole à la défense, Mme Brahimi a tenu à remettre en ordre certains faits concernant les lettres et les suggestions que des citoyens algériens ont envoyés à la cour de Blida. L’une des ces missives, adressée anonymement au procureur général, a soulevé un tollé au sein de quelques avocats de la défense.
Et pour cause, celle-ci était non seulement anonyme, mais en plus n’avait aucun effet juridique, sans que cela n’empeche le procureur général de l’exhiber durant son réquisitoire et ….sans l’accord de la juge.
“ Personnellement je n’étais pas au courant de cette utilisation et c’est une chose que je n’accepte pas ” dira-t-elle à l’adresse des avocats.
En effet, cette lettre anonyme contenait des accusations à l’encontre d’un responsable de la CNAS qui aurait été vu dans des soirées avec des membres de Khalifa.
S.B.
