Puisque la venue des pieds-noirs s’est faite avec l’aval des plus hautes autorités de l’Etat, nous ne pouvons nous opposer à une telle décision. Mais, au fond de nous-mêmes, nous ne sommes pas contents. Cela dit, nous avons discuté quand même avec certains d’entre eux. Et puis, comme l’ont dit, avant nous, d’illustres moudjahidine, il faut savoir tourner la page, mais ne pas la déchirer. Si par ailleurs, ils manifestent leur désir d’investir chez nous, qu’ils soient les bienvenus, on a besoin de tout le monde”.
