Les garçons de Tahar Lamhène, le coach des benjamins de la JS Kabylie, ont superbement triomphé à Oran la semaine dernière en remportant haut la main le tournoi national organisé dans la ville de « El Hamri » par la Ligue régionale de football.
Dès le coup d’envoi, dimanche dernier, de ce tournoi non stop, les Benjamins kabyles annoncèrent les couleurs au premier match qu’ils remportèrent par deux buts à zéro (2-0) contre le MC Oran, puis au second match avec un score similaire contre Oued Rhiou, avant de faire un nul (1-1) au 3ème match contre le WA Tlemcen.
Première du groupe, suivie en 2ème position par le MCO, la JSK affronte aux quarts de finale, et par élimination directe, la sélection d’Oran qu’elle écarta sur un score de deux buts à zéro (2-0). Qualifiée ainsi en demi-finale, la JSK rencontre de nouveau le Mouloudia d’Oran avec lequel elle décrocha un match nul (0-0), malgré les tentatives des coriaces oranais de mener une certaine revanche, après notamment leur défaite au match d’ouverture du tournoi devant leurs hôtes kabyles ; vainement. Procédant ensuite aux tirs aux buts – trois tirs par camp – la JSK réussit deux réalisations contre une, éliminant ainsi le grand MCO.
En finale, les garçons de Tahar Lamhène remportent le tournoi par un score de deux buts à zéro (2-0) devant Bethioua. Dans les classements de meilleur buteur, meilleure attaque et meilleure défense, c’est encore la JS Kabylie qui émerge avec son buteur incontestable, Amine Boumati (6 buts), une meilleure attaque (9 buts inscrits) et une meilleure défense (1 but encaissé). Concernant la participation, outre la JS Kabylie, ont pris part à ce tournoi, qui a permis de dénicher de remarquables talents, de grandes écoles de football, à l’image du Mouloudia d’Oran, de l’Entente de Sétif, du Mouloudia d’Alger, du CS Constantine, du WA Tlemcen, de Béthioua et autre Oued Rhiou.
L’équipe victorieuse conduite par Tahar Lamhène comprenait notamment Chernaï (gardien), Arab, Aïmen, Aïboud, Merabtene, Hantat, Mazouz, Dourari, Boumati, Loukab, Lahcene, Ouguennouni, Kendel, etc. Chapeaux bas, les enfants !
Antar Boufatis