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Le leader harponné par le dauphin

Le CRB Aokas, version Djouder est en train de réaliser un parcours des plus honorables et couronné de succès dans le championnat de la régionale III GA où il est sociétaire, avec, à la clé une méritoire seconde arrachée grâce à une performance et une constance jamais égalées. Qui l’aurai cru ? Se disent ses fans les plus sceptiques, surtout que l’effectif de la formation aokacienne a été rajeuni de moitié et que le club a connu une valse d’entraîneurs en milieu de saison.

Ainsi, depuis le retour au club de l’enfant terrible et prodige, le coach Djouder appelé à la rescousse pour continuer le bon travail déjà accompli par ses prédécesseurs, tous les rêves sont permis cette saison pour les littoraux qui ne s’empêchent pas d’ailleurs de voir leur labeur et leur sueur prévues par une place honorable au finish.

Dans son cercle de fans et d’amis, l’on garde grand espoir de briguer cette accession dorée tant attendu durant des années. Les littoraux ont prouvé encore une fois ce jeudi que leur place de dauphin n’est pas un fait du hasard mais elle découle d’un travail de longue haleine Figurez vous bien, et le leader sidi aichois en sait quelque chose lui qui s’est incliné par deux fois devant ce roc aokacien.

La bande à Djouder a d’abord tenu en échec à l’aller et sur leur terrain les Sidi Aichois avant de récidiver cette semaine en leur ingligeant une cinglante défaite par un score lourd sans appel de 4/1. Cette victoire a remis sur scelle une bonne fois pour toute les littoraux qui viennent d’amenuiser l’écart les séparant du leader à un point seulement.

Ce jeudi, le dauphin se rendra à Seddouk pour confirmer sa course en fanfare dans cette compétition face à une équipe tendre au plus bas du tableau. Une victoire placerait probablement en très bonne posture pour l’accession les Aokaciens qui sont à deux doigts du sacre, surtout quant on sait que pour les deux autres prochaines rencontres, ils auront à faire à des équipes très faibles largement à leur portée comme l’ABR.Djabahia à domicile et le S Aïn Bessam, à l’extérieur.

L. Beddar

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