“Nous avons réuni toutes les conditions pour que nos candidats se sentent à l’aise et passent sereinement leurs épreuves” ces propos conjointement émis par Mouloud Ramoul, le P/APC et Salmi le responsable du centre d’examen illustrent le souci qu’accorde l’administration à cette épreuve qui tend à devenir un test décisif pour les écoliers. De pure “formalité scolaire” qu’il était, il n’y a que trois à quatre année de cela, il s’achemine doucement mais sûrement pour devenir un véritable “examen d’entrée”. Que les élèves ne soient évalués que dans les matières essentielle (arabe – maths – français) n’enlève en rien au sérieux qu’on veut donner à ce moment fort du cycle primaire. C’est au CEM Bektache-Madani que les 191 candidats de la commune ont passé cet examen. “Très facile” telle était l’appréciation unanime est le sentiment unanime des candidats à la fin des épreuves.
“Ad Awigh 10/10 del mat” (j’aurai 10/10 en mathématiques) lance heureux à ses camarades qui l’entourent, un enfant bien potelé. Un enseignant du moyen que nous avons rencontré sur les lieux, nous dira que ces épreuves sont plutôt accessibles, du fait que cet examen est celui qui clôture définitivement l’enseignement fondamental en Algérie. La majorité des élèves sont retournés chez eux, après l’épreuve de l’après-midi, avec le sentiment d’avoir bien travaillé et d’avoir gagné le ticket qui leur ouvrira en septembre prochain les portes des CEM.
Boualem. B.
