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“J’ai le noble art dans les veines”

Agé seulement de 17 ans, Menad Bouamara possède déjà un palmarès étoffé avec six titres. Ambitieux à souhait et tout en gardant les pieds sur terre, Menad veut également aller vers d’autres conquêtes, comme l’ont fait si bien ses aînés de la JST, à l’image des Kinzi, Bouzera et Ziani.

La Dépêche de Kabylie : Menad, veux-tu te présenter à nos lecteurs ?

B. M. : Je m’appelle Menad Bouamara, né le 1er janvier 1990 à Timezrit.

Comment es-tu venu à la boxe ?

Ayant la chance de résider près de la salle de boxe à El Had, où il n’y a aucun autre lieu de loisir, je fréquentais donc la salle de boxe et avec le temps, je en suis devenu un passionné de ce noble art 1998, à l’âge de 8 ans, j’ai “chaussé” une paire de gants.

Avec le temps, ne regrettes-tu pas d’avoir opté pour la boxe au lieu d’un autre sport ?

Non je ne regrette pas, ou contraire !

Les titres remportés ?

En tout, j’ai remporté 6 titres : deux fois champion d’Algérie, deux coupes d’Algérie dans les 57 kg, classé 4e au championnat du monde (cadets) qui s’est déroulé en Turquie et 4e au championnat arabe en Egypte.

Comment vois-tu ton avenir dans la boxe ?

Je souhaite remporter d’autres titres et arriver au summum dans la discipline de la boxe et souhaite participer aux jeux olympiques de 2012.

Le mot de la fin ?

Je remercie vivement la Dépêche de Kabylie (dont je suis un assidu lecteur) qui permet aux jeunes de sortir de l’anonymat et lui souhaite longue vie.

Entretien réalisé par Bouras Rabah

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