Conférence-débat sur les droits de l’enfant

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L’Algérie a signé divers traités visant à la promotion des droits de l’Homme — lesquels incluent les droits de l’enfant —, en ce sens une batterie de lois a été depuis promulguée, figurant ainsi au code civil et pénal, concernant notamment les droits de l’enfant ainsi que sa protection.

La Journée mondiale de l’enfant correspondant au 1er juin, a révélé l’ouverture des institutions judiciaires et la disposition de l’hbservatoire des droits de l’homme à aller au fond de la question, comme en témoigne d’ailleurs les articles de la presse écrite ayant succinctement traité de ce thème majeur, soit à l’échelon local ou celui national. Suite à un tel déclic, les institutions judiciaires sont devenues en cette même période des lieux de rayonnements de la culture concernant les droits de l’enfant. A ce même registre, le tribunal de Sidi Aïch a été, mercredi dernier, le lieu d’une conférence-débat, animée par le procureur de la République, le président du tribunal, le juge d’instruction, en présence d’avocats, en direction d’élèves accompagnés de leurs parents, de l’administration du secteur éducatif (primaire), des autorités locales et celles sécuritaires. Lesquels conférences et débats — très instructifs par leur teneur, et ouvrant la voie à une connaissance généralisée, dans la société, de la culture des droits de l’enfant, en particulier — se sont articulés autour de la question cruciale (droit de l’enfant) et ses ramifications, comme la protection des enfants contre toutes les formes d’agressions et fléaux, le problème de la déperdition scolaire, le rôle de la justice et tant d’autres questions de la même constellation.

Nadour Youcef

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