La consternation de la commission

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Suite au dénouement tragique de la disparition du petit Yacine Bouchelouh, âgé de 4 ans, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme (CNCPPDH), M. Farouk Ksentini et ses membres ont exprimé, avant hier, à Alger, leur consternation. La commission s’est ainsi saisie de ce douloureux drame pour inviter l’ensemble des autorités publiques concernées, à mettre en place, un mécanisme d’alerte et de prise en charge rapide et efficace afin d’empêcher autant que cela est possible, que de telles situations ne se reproduisent. Par ailleurs, M, Ksentini, a indiqué, lors de son passage a la chaîne II, que  » L’Observatoire national doit se pencher sur cet épineux problème qui relève du grand banditisme « , estimant que les services de sécurité, de concert avec l’Observatoire, sont appelés à se pencher sur cette question et faire des propositions à même d’éradiquer ce phénomène. Dans un communiqué rendu public, cette institution a présenté ses condoléances  » les plus attristées  » à la famille de l’enfant. Cette commission a tenu également à souligner le  » formidable élan de solidarité de la population, ainsi que les efforts des différents corps de sécurité publique pour retrouver l’enfant « . Pour rappel, le corps inanimé du petit Yacine, porté disparu depuis le 2 mai dernier, a été découvert, mardi dernier, au fond d’un puits, distant de quelques mètres seulement de la cité des 224 logements de Bordj El Kiffan, où il habitait avec sa famille.

N.B

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