Usant du droit de réponse, nous venons apporter des précisions sur le contenu de votre article intitulé “les avions réintègrent le paysage” paru le 25 juin 2007.
Nous refusons que l’importance de la réhabilitation de l’aérogare soit minimisée et qualifiée de “légers liftings” « niant les énormes efforts déployés par l’EGSA avec le concours de la wilaya de Béjaïa.
En effet, votre journaliste qui n’a pas remarqué les changements profonds visibles dès l’entrée de l’aéroport ne semblait s’intéresser qu’à la zone sous douanes, où il aurait assisté à une situation de mécontentement des passagers d’un vol international dû à la non livraison des bagages. Mais il n’a pas réagi en professionnel du journalisme en cherchant et vérifiant les causes réelles qui ne sont nullement les tapis (deux carrousels) en parfait état de marche. Une telle réaction serait tolérée quand il s’agit d’un sager mécontent méconnaissant les dispositifs de fonctionnement d’un aéroport mais elle est catégoriquement inadmissible quand il s’agit de désinformer et tromper les lecteurs.
Pour revenir au lifting en profondeur qu’a connu la zone terminal il y a lieu de préciser que l’EGSA a mis les bouchées doubles et au prix fort en misant sur la qualité et la sûreté avec des investissements conséquents en équipements et modernisation des structures d’accueil (confort, espaces verts, changement de look, recours à l’outil informatique, télésurveillance, nouveaux équipements…). Durant la fermeture de l’aérodrome à la CAP, l’aérogare a connu une véritable métamorphose, dix-sept entreprises et artisans en plus des renforts de techniciens venus d’autres aéroports ont œuvré jours et nuits pour hisser cette structure aux standards internationales.
Même les commerces ont connu de très sérieuses améliorations.Le contenu de votre article est un signe d’ingratitude envers tous ceux qui ont contribué à faire de notre aéroport la fierté de la région mais ils trouveront consolation en la satisfaction et l’appréciation objective des usagers qui l’emprunteront.