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Le journal à 13 DA

Les lecteurs de Ouacif doivent se débourser 3 da de plus pour pouvoi lire à leur quotidien.

Les deux revendeurs, qui exercent ce métier sur la place publique, se font ramener leur marchandise de Tizi-Ouzou, par des transporteurs de voyageurs. Le journal n’est en fait réceptionné qu’avec bien du retard, particulièrement le samedi. Et la chaîne et parfois très longue, et on doit en plus payer 13 da dans une petite échoppe de tabac et cacahuète qui a aussi prévu un rayon pour les journaux suspendus au mur à l’aide de pincets.

Il les achetés en troisième main et prélèvant sa marge bénéficiaire. tous les journaux sont disponibles. Et les lecteurs sont quand même contents d’avoir leur journal, en dépit de la chaîne et du supplément à payer.

La ville de Ouacif, tapie au fond d’une vallée étroite aux pieds du majestueux Djurdjura n’est toujours pas desservie par la messagerie de presse.

Amarouche

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