« Nous voulons savoir ce qui se passe chez nous « , nous interpelle un jeune Kabyle natif et résidant à Oran. Pour les familles installées à El-Bahia au cours des années 70, le cordon ombilical les liant à la Kabylie n’est toujours pas rompu. Venues de Vgayet, de Tizi et installées à Oran, notamment à Sidi El Houari, El Derb, Coca et El Hassi, ces familles sont restées kabyls. Pour Samir, originaire de Michelet, la Dépêche de Kabylie est indispensable. » Il m’arrive de l’imprimer à partir d’Internet et de le donner à mes amis « , a-t-il assuré.
Regroupés autour de l’Association » Numidia « , ses adhérents fêtent toutes les dates-symbole du combat identitaire et démocratique que mène la Kabylie. Pour Hayet, journaliste à l’Echos d’Oran, la Dépêche de Kabylie est le seul canal dont lequel on peut puiser les informations sur la Kabylie, nous dira-t-elle, avant d’ajouter » qu’elle doit être distribuée sur le territoire national, vu le poids politique de la Kabylie sur l’échiquier national « .
Dda Ahcene, » je pourrais la payer 100 DA pour connaitre la réalité de ma région, dites à vos responsables de faire quelque chose dans ce sens « .
M. M.
