La ville de Draâ El Mizan a besoin d’un aménagement urbain en raison des axes routiers entièrement délabrés. Il faut rappeler que la wilaya a débloqué à cet effet une cagnotte de soixante milliards de centimes.
La première opération, consacrée au bitumage en tapis de l’artère principale, allant du technicum à la station-service à la sortie de la ville sur la route de Boghni a été achevée. Il est attendu de lancer aussi l’axe allant de l’ancien bureau de poste jusqu’à la cité Caper.
“Tous les autres axes sont programmés. Seulement, le manque d’entreprises spécialisées dans les travaux routiers manquent dans la région”, nous avait confié une source proche de l’APC. Actuellement, d’autres opérations sont en cours.
Des entreprises sont engagées au niveau des axes routiers allant à la Nouvelle-Ville en passant par le tribunal et sur l’axe de la daïra vers la caserne militaire. Celles-ci sont en train de poser les bordures ainsi que les trottoirs. Alors que pour l’éclairage public, de nouveaux lampadaires sont implantés à partir du lycée Ali-Mellah tout au long de la RN 30 (route de Boghni).
Notre source nous a informé que d’autres opérations vont suivre tel le bitumage de l’évitement par la cité Emir-Abdelkader jusqu’au lycée. Indubitablement, ces opérations vont tout de même résoudre notamment, l’état des artères de la ville mais il faudrait peut être répéter pour une énième fois que ce bitumage ne durera pas assez longtemps en raison du passage des véhicules de gros tonnage au centre-ville.
Pour les autorités locales et pour aussi les citoyens en général, la réalisation de rocades est une urgence en vue de désengorger cette ville asphyxiée par un trafic routier sans précédent notamment ces derniers jours où le plan de circulation a été quelque peu modifié.
Notons enfin que pour le réseau routier de la périphérie et des zones rurales a été pris en charge en attendant l’inscription dans les PCD d’autres routes telle celle de Thala Maâmar à titre d’exemple.
A. O.