l La dégradation avancée des établissements scolaires de la commune de Tazmalt, ceux du primaire bien sûr, pour qui la charge revient à l’APC a amené les élus locaux à engager des travaux de réfection depuis la sortie des élèves en vacances d’été. Ces travaux de réfection concernent en particulier la boiserie, la peinture, l’électricité et la toiture des classes qui ont été dans leur majorité la cause d’infiltrations des eaux de pluie en période hivernale, ce qui a toujours constitué un danger aux enfants. L’équipe affectée à cette tâche travaille d’arrache-pied pour que ces établissements soient prêts à accueillir les élèves à la rentrée scolaire prochaine et ce, dans l’ensemble des localités de la commune.
A quand les travaux d’aménagement dans les agglomérations urbaines ?
Tazmalt souffre depuis quelques temps en matière d’aménagement dans les agglomérations urbaines et la grande partie des ruelles à l’état qu’elles sont se trouvent poussiéreuses en été et marécageuses en hiver. si on se réfère aux dates et autres données de l’APC et dans le cadre du programme complémentaire 2e tranche de l’année 2004, l’opération aurait été confiée par le maître de l’ouvrage, la direction de l’urbanisme et de la construction (DUC) en 2005 à l’entreprise SNTP, mais à ce jour, les localités concernées par ces travaux sont entre autres des 40/80 logements Tiwririne, cité Merlot, village sud, voie périphérique vers le complexe sport et la partie centre de Tazmalt.
Une ville fantôme
Ayant fait l’objet d’actes de sabotage par le passé, l’éclairage public du centre-ville a cessé de s’allumer pour plonger plusieurs quartiers dans une obscurité totale favorisant ainsi les actes de vol ou des magasins ont eu à être visite par des malfaiteurs, C’est dans ce sens et afin de redonner à la ville son image d’antan que l’exécutif en place, après deux mois seulement de son installation, a investi le terrain par des actions pour combler à toutes ces insuffisances et ces manquements pour assurer à la population un tant soit peu le cadre de vie agréable du citoyen qui ne cesse de souffrir de cette ville fantôme.
B.B.