Yassine Lamrani, Champion d’Afrique

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Dans certaines disciplines sportives, notamment celles qui ne trouvent pas à ce jour des supports médiatiques pour les faire connaître au grand public, la satisfaction des résultats obtenus ont tout de même compensé l’échec de nos athlètes dans d’autres compétitions.

Parmi ces sports jusque-là méconnus et qui ont permis à l’Algérie de se hisser à la deuxième place au tableau des médailles, le kick-boxing a été à l’honneur.

Parmi ceux qui se sont illustrés en décrochant le vermeil; le jeune Yassine Lamrani que nous avons rencontré au siège de l’APC de Ain Zaouia où il a été reçu par le président de l’APC.

Cette occasion a été pour nous de propice afin d’en savoir un peu plus sur son parcours exemplaire dans les arts martiaux et plus particulièrement le kick boxing qui “est une forme de boxe pieds-poings dans laquelle tout type de coups de pied est autorisé au dessus de la ceinture et pour les cibles au dessous du bassin, exclusivement dur la cuisse et les balayages sur le pied”.

De ce fait, selon notre champion d’Afrique et médaillé de bronze au championnat du monde en grèce “être performant et conquérir le niveau mondial m’a demandé énormément de sacrifices sur tout après avait intégré l’équipe nationale”. A la question posé afin de savoir d’où il détient les clés de sa réussite, l’enfant de Ain-Zaoua nous a répondu “que seul le travail compte pour réaliser ses rêves d’enfance, puisque dès mon jeune âge je n’ai jamais cessé de progresser physiquement et de franchir les paliers pour arriver enfin à l’équipe nationale”.

Même ses parents, ses différents entraîneurs et sa réussite dans les études ont fait de lui un sportif mature. D’ailleurs, même en devenant un athlète de performance, il a toujours préféré partager la joie de ses succès avec sa famille et les gens de sa région.

Et pour revenir un peu à sa participation aux Jeux africain, il a tenu à rendre hommage à ses partenaires de l’équipe qui ont arraché 7 médailles d’or, mais tout en signalant le grand travail éfféctué part la Fédération des arts martiaux à sa tête Adlen Ouali, ainsi que l’entraîneur national Hamouda Kouidri qui a su faire de ses athlètes des champions.

M. Haddadi

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